Mon c½ur est en lambeau,
Il tombe en un millier de morceaux....
Ravagé par un fléau nommé amour,
Impossible de faire demi-tour.
Au menu, cascade de larmes,
Saupoudrée de paillettes d'une vérité qui fait mal.
Je voudrais m'isoler dans mes rêves, est-ce anormal ?
J'aimerais que mes pensées cessent leur vacarme.
Tu m'as décoché une flèche empoisonnée,
Qui m'a littéralement intoxiquée...
Mes pensées sont enchaînées à ton nom,
Chacun de tes mots résonnent comme des coups de canon.
Pouvoir me libérer ? Te dire ce que je pense ?
Pour recommencer à resplendir comme avant...
Tu me fais espérer pour me blesser plus profondément,
A chaque fois je reviens, à chaque fois ça recommence.
J'ai été naïve de croire en ces moments parfaits,
S'il te plaît ne pars pas, j'ai besoin de toi...
Je t'en prie reste auprès de moi !
Je te pardonne, malgré tout le mal que tu me fais !
Je croyais plus que tout au hasard, au destin,
Je croyais à nous deux, main dans la main...
J'aimerais te faire boire un sérum de vérité,
Pour une fois connaître le fond de ta pensée...
J'aimerais qu'avec une allumette et de l'essence,
Je puisse faire disparaître toute ma souffrance...
Je voudrais pouvoir t'effacer définitivement,
Mais c'est impossible, évidemment...
Il tombe en un millier de morceaux....
Ravagé par un fléau nommé amour,
Impossible de faire demi-tour.
Au menu, cascade de larmes,
Saupoudrée de paillettes d'une vérité qui fait mal.
Je voudrais m'isoler dans mes rêves, est-ce anormal ?
J'aimerais que mes pensées cessent leur vacarme.
Tu m'as décoché une flèche empoisonnée,
Qui m'a littéralement intoxiquée...
Mes pensées sont enchaînées à ton nom,
Chacun de tes mots résonnent comme des coups de canon.
Pouvoir me libérer ? Te dire ce que je pense ?
Pour recommencer à resplendir comme avant...
Tu me fais espérer pour me blesser plus profondément,
A chaque fois je reviens, à chaque fois ça recommence.
J'ai été naïve de croire en ces moments parfaits,
S'il te plaît ne pars pas, j'ai besoin de toi...
Je t'en prie reste auprès de moi !
Je te pardonne, malgré tout le mal que tu me fais !
Je croyais plus que tout au hasard, au destin,
Je croyais à nous deux, main dans la main...
J'aimerais te faire boire un sérum de vérité,
Pour une fois connaître le fond de ta pensée...
J'aimerais qu'avec une allumette et de l'essence,
Je puisse faire disparaître toute ma souffrance...
Je voudrais pouvoir t'effacer définitivement,
Mais c'est impossible, évidemment...